L’adolescence, un tsunami
neuro-hormono-immuno-émotionnel
Les 3 motifs de consultation les plus fréquents en médecine fonctionnelle chez l’adolescent, du moins dans ma pratique, sont :
Aux Etats-Unis, il existe même des pédiatres spécialisés dans l’adolescence, tellement cette période est si particulière, physiologiquement parlant.
Ils peuvent être :
Une carence fréquente
La procrastination de l’adolescent peut être liée à un déficit en dopamine, lui-même induit pas des déficiences en cofacteurs micronutritionnels comme le fer, le magnésium, le zinc, des vitamines du groupe B. L’oxygène participe aussi à la production de dopamine, d’où la nécessité de bouger.
Les signes d’un manque de dopamine peuvent être :
Nous travaillerons essentiellement avec des compléments de vitamines et minéraux car les changements alimentaires ne sont pas toujours bien acceptés par les adolescents, sur le microbiote et les liens :
Sans oublier la méthylation, étape nécessaire pour transformer la sérotonine en mélatonine, à considérer si problèmes de sommeil.
Également en cas d’hyperactivité (6).
Il existe un lien entre addictions (7) et méthylation selon certaines études.
Dans les problèmes hormonaux, on y pensera aussi, car sans une bonne méthylation, il n’y aura pas une bonne détoxication hépatique des œstrogènes : peuvent en découler tous les syndromes liés à une hyperœstrogénie relative (plus d’œstrogènes que de progestérone) comme le syndrome prémenstruel, l’endométriose, les kystes etc.
Références